• Pourquoi l'amour et la souffrance vivent-ils ensemble? Parce que c'est un couple. 

    Michel Conte


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  • Certitude?

    " Un homme était sûr de quelque chose. On ne savait donc qu'en faire. On le mit successivement en prison, en chaire, sur le trône, à l'asile des lunatiques, on voulut le tuer. D'autres pensaient à l'obliger de féconder mille femmes choisies. Finalement, fatigué de tous ces avatars, il déclara qu'il n'était sûr de rien et on lui laissa la paix. Il en profita pour écrire une Ethique, qui est un des livres les plus importants du monde. Car tout le monde en parle et l'invoque mais personne ne l'a lu".

    Paul Valéry.


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  • Selon une terminologie, désormais séculaire, imposée par qui nous savons, la gauche est le parti du Bien, et la droite, un syndicat de cartels de « biens ».

    Peut-être commence-t-on à réviser, au contact de la réalité, cette bipolarité mensongère.

    A moins de considérer que Delanoë, entre autres, est un homme « de droite », qui se dissimulait jusqu'alors sous le masque de la gauche. Et il n'est pas impossible que ce soit bientôt, la thèse que s'emploieront à accréditer les amis de MM. Hollande, DSK, et autres Delanoë.

    Lisons plutôt les révélations de la revue Capital(http://www.capital.fr/enquetes/derapages/l-incroyable-derive-financiere-de-la-mairie-de-paris-549730 ).

    Nous n'entreprendrons pas ici de renverser la terminologie consacrée, et de faire à notre tour de la droite le parti de toutes les vertus. Il y a aussi, à droite des gens qui sortent des clous, sur le plan financier comme sur d'autres.

    Mais il est temps de renvoyer les Tartufe à leurs turpidudes.

    L'humanité ne se divise pas en deux groupes opposés le parti du BIEN, et celui du mal.

    La réalité est plus complexe. LS.

     

     

     

     

    L’incroyable dérive financière de la mairie de Paris

     

     

    DELANOE démasqué par Capital et l'Inspection générale de la ville de Paris

    LE BOOMERANG de DELANOE !

      DELANOE PLUS VOYOU QUE CHIRAC, EH OUI !!!!!
    Lorsqu'il tenait l'Hôtel de ville de PARIS, Jacques CHIRAC appointait discrètement 21 personnes qui travaillaient en réalité pour le RPR. Avec l'aide de l'UMP, il vient d'ailleurs de
    rembourser la somme de 2,2 millions d'euros à la Mairie de Paris.
    Eh bien, selon la revue "CAPITAL", Bertrand DELANOE fait mieux encore !
    Voilà neuf ans que ce cachotier finance avec l'argent du contribuable une bonne trentaine de postes de permanents CGt et son "ami" , planqués dans une des mutuelles de la ville : la MCVPAP...
    Dans un rapport au vitriol,l'Inspection générale de la ville de PARIS, chiffre à
     1,2 million d'euros par an, le coût de ce petit cadeau consenti, sans aucun fondement juridique, à l'organisation de Bernard THIBAULT... On peut donc estimer que plus de 10 millions d'euros ont été consacrés depuis 2001, à cette oeuvre charitable. Cinq fois plus que les frasques de Jacques CHIRAC !
    Même, en s'y mettant à deux, Bertrand DELANOE et Bernard THIBAULT auront beaucoup  de mal à rembourser!!!!Sur cet article, les Médias, tenus par la Gauche, sont restés très discrets !!!
    Vous pouvez lire l'intégralité de cet article dans le site : 

     http://www.capital.fr/enquetes/derapages/l-incroyable-derive-financiere-de-la-mairie-de-paris-549730

     L'incroyable dérive financière de la mairie de Paris"
    Source : Magazine Capital


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  • Du plus loin, que me revienne,
    L´ombre de mes amours anciennes,
    Du plus loin, du premier rendez-vous,
    Du temps des premières peines,
    Lors, j´avais quinze ans, à peine,
    Cœur tout blanc, et griffes aux genoux,
    Que ce furent, j´étais précoce,
    De tendres amours de gosse,
    Ou les morsures d´un amour fou,
    Du plus loin qu´il m´en souvienne,
    Si depuis, j´ai dit "je t´aime",
    Ma plus belle histoire d´amour, c´est vous,

    C´est vrai, je ne fus pas sage,
    Et j´ai tourné bien des pages,
    Sans les lire, blanches, et puis rien dessus,
    C´est vrai, je ne fus pas sage,
    Et mes guerriers de passage,
    A peine vus, déjà disparus,
    Mais à travers leur visage,
    C´était déjà votre image,
    C´était vous déjà et le cœur nu,
    Je refaisais mes bagages,
    Et poursuivais mon mirage,
    Ma plus belle histoire d´amour, c´est vous,

    Sur la longue route,
    Qui menait vers vous,
    Sur la longue route,
    J´allais le cœur fou,
    Le vent de décembre,
    Me gelait au cou,
    Qu´importait décembre,
    Si c´était pour vous,

    Elle fut longue la route,
    Mais je l´ai faite, la route,
    Celle-là, qui menait jusqu´à vous,
    Et je ne suis pas parjure,
    Si ce soir, je vous jure,
    Que, pour vous, je l´eus faite à genoux,
    Il en eut fallu bien d´autres,
    Que quelques mauvais apôtres,
    Que l´hiver ou la neige à mon cou,
    Pour que je perde patience,
    Et j´ai calmé ma violence,
    Ma plus belle histoire d´amour, c´est vous,

    Les temps d´hiver et d´automne,
    De nuit, de jour, et personne,
    Vous n´étiez jamais au rendez-vous,
    Et de vous, perdant courage,
    Soudain, me prenait la rage,
    Mon Dieu, que j´avais besoin de vous,
    Que le Diable vous emporte,
    D´autres m´ont ouvert leur porte,
    Heureuse, je m´en allais loin de vous,
    Oui, je vous fus infidèle,
    Mais vous revenais quand même,
    Ma plus belle histoire d´amour, c´est vous,

    J´ai pleuré mes larmes,
    Mais qu´il me fut doux,
    Oh, qu´il me fut doux,
    Ce premier sourire de vous,
    Et pour une larme,
    Qui venait de vous,
    J´ai pleuré d´amour,
    Vous souvenez-vous?

    Ce fut, un soir, en septembre,
    Vous étiez venus m´attendre,
    Ici même, vous en souvenez-vous?
    A vous regarder sourire,
    A vous aimer, sans rien dire,
    C´est là que j´ai compris, tout à coup,
    J´avais fini mon voyage,
    Et j´ai posé mes bagages,
    Vous étiez venus au rendez-vous,
    Qu´importe ce qu´on peut en dire,
    Je tenais à vous le dire,
    Ce soir je vous remercie de vous,
    Qu´importe ce qu´on peut en dire,
    Je suis venue pour vous dire,
    Ma plus belle histoire d´amour, c´est vous...


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  • Le 18e SALON d'ART à BOSC-MESNIL
    organisé par Marie-Claude BEAUVALLET, Maire, Le 
    Conseil Municipal et le Comité des Fêtes

    Invitées d'honneur : Eugéniya ZHARAYA ( peintre )
    Henriette MARTINEAU ( sculpteur )

    Participants : R. ABDERAME, F. ACCARD, D. BOULAIS, 
    J-L. BOZEC, L. BURETTE, G. CREPEL, N. CREPEL, 
    M. DEHAYS, C. DUCROUX, J. FLIECX, J-F. FROISSART, 
    J. GAURAT, M. GUERARD, B. HERICHER, J-L. HERICHER, 
    M. HUBERT, D. LANGEVIN, C. LEMARCHAND, 
    E. LEMARCHAND, J-L. LEMARCHAND, K. LEMOINE, 
    M-F SAGAERT


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  • Dans cette vidéo, l'Autrichien Clemens Wirth nous montre... ce que l'on ne peut pas voir : la vie de minuscules êtres vivants à l'intérieur d'une goutte d'eau. Pour réussir cet exploit, il a utilisé 2 objets : une caméra et un microscope.   Tes yeux vont être surpris... et tes oreilles aussi ! Le son est fait à partir d'enregistrements de lions... et d'insectes ! Pour cela, les artistes ont utilisé un micro spécial, tellement précis qu'il est capable de capter les battements de coeur des escargots ! Ils ont aussi enregistré des bruits gluants, en utilisant des gels de coiffure de supermarchés. Regarde et écoute ! 


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  • Passer au vert…

    Quel contraste entre les années 50 et l’année 2014.

    Bonne lecture car ça vaut la peine d’être lu. 

     

     

    Lorsqu'une dame dans la soixantaine a choisi le sac en plastique pour ses produits d'épicerie, la caissière lui a reproché de ne pas se mettre au « vert ».

    La caissière dit à la femme que la génération de la vieille femme ne comprenait tout simplement pas le mouvement environnementaliste; que seuls les jeunes allaient payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources.

    La dame s'est excusée et lui a expliqué : « Je suis désolée, nous n'avions pas le mouvement vert dans mon temps. »

     

       
       
      Alors qu'elle quittait le magasin, la mine déconfite, la caissière en rajouta : « Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à notre dépens. C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps! »

    La dame dit : « J’admets qu'à l'époque, on retournait les bouteilles de lait, les bouteilles de Coke et de bière au magasin. Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau; on utilisait les mêmes bouteilles à plusieurs reprises. À cette époque, les bouteilles étaient réellement recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement vert.

     

    En mon temps, on montait l'escalier : on n'avait pas d'escaliers roulants dans tous les magasins ou dans les bureaux. On marchait à l'épicerie aussi. On ne prenait pas un bolide à 300 chevaux-vapeur machine à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux coins de rue. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement vert.

     

    À l'époque, on lavait les couches de bébé; on ne connaissait pas les couches jetables. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge; pas dans un machine énergétique avalant 220 volts. On utilisait l'énergie éolienne et solaire pour vraiment sécher les vêtements.

     

    À l'époque, on recyclait systématiquement les vêtements qui passaient d'un frère ou d'une sœur à l'autre. C'est vrai ! On ne connaissait pas le mouvement vert.

     

    À l'époque, on n'avait qu'une TV ou une radio dans la maison; pas une télé dans chaque chambre. Et la télévision avait un petit écran de la taille d'une boîte de pizza, pas un écran de la taille de l'État du Montana.

     

    Dans la cuisine, on s'activait pour brasser les plats et pour préparer les repas; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts.

     

    Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait des rembourrages comme du papier journal ou de la ouate, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.

     

    À l'époque, on utilisait du « jus-de-bras » pour tondre le gazon; on n'avait pas de tondeuses à essence autopropulsées.

    À l'époque, on travaillait fort physiquement; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de santé pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité. Mais, vous avez raison : on ne connaissait pas le mouvement vert.

     

    À l'époque, on buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif; on n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à chaque fois qu'on voulait prendre de l'eau.

     

    On remplissait les plumes fontaine au lieu d'acheter un nouveau stylo; on remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir tout simplement à chaque rasage. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement vert.

     

    À l'époque, les gens prenaient le tramway et les enfants prenaient leur vélo pour se rendre à l'école au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi de 24 heures. On avait une prise de courant par pièce, pas une bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui. »

     

    La dame avait raison : à son époque, on ne connaissait pas le mouvement vert; mais on vivait chaque jour de la vie dans le respect de l'environnement.

     

    (Auteur inconnu)


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