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  • Aimer, ça commence le matin par le premier regard que l'on se donne, 
    le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour.

    Aimer, c’est apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, 
    un jus de fruits... accompagné d’une chanson d’amour 
    ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.

    Aimer, c'est demander à l'autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse.

    Aimer, c'est lancer à l'autre un clin d'œil complice dans la glace lorsqu'il fait sa toilette, 
    c'est aussi l'embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.

    Aimer, c'est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre sa journée de travail.

    Aimer, c'est accompagner l'être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; 
    c'est de lui souhaiter une bonne journée; 
    c'est s'installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.

    Aimer, c'est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l'on s'aime ou prendre des nouvelles.

    Aimer, c'est de se faire des surprises sans rien  attendre en échange.

    Aimer, c'est parfois d'accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, 
    sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre.

    Aimer, c'est être assuré que nos âmes se moquent des distances 
    et sont tendrement enlacées en toute  situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.

    Aimer, peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l'autre, les yeux fermées, pendant un instant.

    Aimer, c'est de s'accueillir et de s'étreindre au retour à la maison 
    en goûtant tout simplement la sagesse du silence ou en s'informant de ce que l'autre a vécu durant la journée.

    Aimer, c'est savoir se serrer l'un contre l'autre, c'est rire ou s'émouvoir ensemble, 
    c'est vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon. 
    C'est aussi "faire l'amour", une partie d'un tout indispensable à la vie, 
    tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent.


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  • Il est possible de s'habituer à l'absence des gens qu'on aime à la seule condition que d'autres viennent prendre leur place. Mais il se trouve que parfois, une personne très particulière est étrangement irremplaçable. 


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  • Ville socialiste ou le social n'a pas sa place pour les sans dents comme dirait Hollande.Je suis révolté.

    En luttant ces socialos sont revenus sur leur décision.(ils pensaient que nous allions dire amen)

    La nouvelle est désormais officielle, les douches municipales vont rouvrir à Rouen. Leur fermeture, annoncée au mois de décembre 2014, a suscité la polémique. Les locaux, situés dans le centre-ville rue Orbe seront à nouveau opérationnels dès ce jeudi matin, à 8h30.

    Trop cher

    Les dernières douches publiques de l'agglomération rouennaise étaient donc vouées à la fermeture pour des raisons économiques, la mairie estimant leur coût trop élevé par rapport à leur fréquentation. Mais début juillet, devant la mobilisation, le conseil municipal revient sur sa décision et choisit de maintenir ces cabines de douches. Puis, les choses ont trainé car il manquait deux salariés pour s'occuper de leur fonctionnement.

    "un équipement qui revient extrêmement cher" - l'adjointe à la solidarité

    "Pas touche aux douches"

    Plusieurs mobilisations ont eu lieu dans le centre de Rouen pour dénoncer cette fermeture. Les manifestants défilaient avec des serviettes autour du cou avec comme slogan "pas touche aux douches". Certains se sont même invités au conseil municipal le lundi 6 juillet. Une pagefacebook a été créée et une petition a circulé avec plusieurs milliers de signatures. L'opposition de droite au conseil municipal avait également demander au maire Yvon Robert de revenir sur sa décision.

     


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  • Le collectif dit "ZAD Rouen", auquel participent à titre personnel plusieurs occupants de la Ferme des Bouillons, appelait à un nouveau rassemblement jeudi 13 novembre 2014 face au Palais de Justice de Rouen. Les forces de l'ordre n'auront pas permis l'édification d'un nouvel espace de dialogue place Marcel Duchamp.

    Voici une vidéo très exhaustive de l'intervention des forces de l'ordre sur l'esplanade Marcel Duchamp, le 13 novembre 2014 à Rouen.
    Ca commence par une belle chorégraphie des CRS. Ca se poursuit par des coups de matraque dont on se demande bien à quelle nécessité ils répondent.
    A 5'28, le clou du spectacle. Une passante effarée tente de dialoguer depuis déjà quelques instants avec les types matelassés, lorsqu'elle les interpelle : "Vous avez tué un jeune". Un CRS se tourne vers elle et daigne enfin lui répondre : "Il l'avait mérité". Quelques jours auparavant, un CRS lançait à un manifestant un "Va mourir". Peut-on encore qualifier cette police de républicaine ?
    A 7'12, le point de vue de maître Viguier au micro de France Bleu. "Ce qui se passe dans le pays est confondant de bêtise, d'inhumanité (...). Quand il y a des personnes qui ont le courage de se battre pour des combats qui sont fondamentaux pour l''humanité, on les voit expulsés sans aucune raison d'une esplanade où tout le monde peut passer, où ils construisent quelque chose de très précaire mais de symboliquement fort. (...) On les expulse avec une violence absolument inutile".

    fermedesbouillons[chez]riseup.net
    http://www.lafermedesbouillons.fr


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  • J'ai connu autrefois un monde merveilleux... 
    La nature indomptable, que l'on refusait de dompter 
    Les nuages enchanteurs, que l'on voyait défiler aux cieux 
    Et le temps incertain, que l'on acceptait sans maugréer 
    J'ai connu autrefois un lieu merveilleux 
    Où l'harmonie régnait dans un désordre orchestré par les Dieux, 
    Des Dieux de toutes sortes que l'on savait loyaux 
    Et qui ne nous asservissaient pas d'impossibles idéaux

     

    J'ai connu autrefois un lieu merveilleux... 
    Les montagnes étaient hautes, si hautes... mais jamais infranchissables 
    Les rivières charriaient dans leur lit notre réserve d'eau potable 
    Et soulageaient nos pieds fatigués sur les sentiers rocailleux 
    Elles étaient parfois profondes ces rivières qui jaillissaient 
    En torrents sauvages et limpides, dans lesquels on se désaltérait 
    Elles étaient profondes, si profondes... mais jamais on ne s'y noyait 
    Elles exprimaient leurs murmures fougueux, à nos oreilles qui les écoutaient .

     

    J'ai connu autrefois un lieu merveilleux 
    Les oiseaux gazouillaient fièrement parmi les feuilles qui bruissaient 
    Agitées par mille vents célestes qui nous rafraîchissaient 
    Comme autant de soupirs divins qui nous rendaient heureux 
    J'ai connu autrefois un lieu merveilleux 
    Où le soleil réchauffait nos esprits et nos cœurs 
    Nous rendant le sens de l'immensité de la richesse intérieure 
    Nous éclairant sur les chemins parfois longs de nos jours heureux.

     

    J'ai connu autrefois un monde merveilleux 
    Qui ne demandait rien, sauf notre respect, pour éviter son courroux, 
    Qui ne demandait rien, à nous, qui donnions tout 
    J'ai connu, autrefois... un monde... merveilleux... 
    Un monde que vous n'avez pas compris... 
    Un monde à jamais anéanti, détruit... 
    Insensibles aux cris de douleur qui montaient de votre mère la Terre 
    Quand, sans regret, elle fut massacrée, toute entière...


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  • Johnny Hallyday, 6 chansons complètes en live, concert Francofolies de La Rochelle, le 14 Juillet 2015. 72 ans l'ancien, il va bien..!!!
    1: Rester vivant 0:45
    2: O Carole 7:20
    3: Je veux te graver dans ma vie 12:15
    4: On m'a trop donné 15:27
    5: Fils de personne 20:06
    6: Allumer le feu 24:27

     


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