• soeur Emmanuelle au Caire

    En 1933, après 22 ans passés dans les bidonvilles du Caire où la joie de vivre court de cabane en cabane, je rentre en France.
    Choc terrible : La morosité court de demeure en demeure, on ne se regarde pas, on ne se parle pas, on ne se connaît pas.
    Pendant ce temps, la joie chante là où l’on vit sans eau, sans électricité, sans loisirs, mais dans la fraternité quotidienne.
    Bonheur, où loges tu ?
    Dans l’abondance des biens ou dans la relation du coeur à coeur ? »

    Soeur Emmanuelle

    « Une écoute avant de dodoter?émouvé le mystère »

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