• L'amitié, comme l'amour, demande beaucoup d'efforts, d'attention, de constance, elle exige surtout de savoir offrir ce que l'on a de plus cher dans la vie : du temps !


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  • When you're smilin'
    Quand tu souris
    When you're smilin'
    Quand tu souris
    The whole world smiles with you.
    Le monde entier sourit avec toi
    And when you're laughin'
    Et quand tu ris
    When you're laughin'
    Quand tu ris
    The sun comes shinin' through.
    On dirait que le soleil illumine la pièce

    When you're cryin',
    Quand tu pleures
    You bring on the rain,
    C'est comme la triste pluie
    So, stop your sighin',
    Alors, quand tu soupires
    Won't you be happy again !
    Ne vas-tu pas retrouver ta bonne humeur à nouveau !

    When you're smiling,
    Quand tu souris
    Keep on smilin'
    Garde le sourire
    And the whole world smiles with you.
    Et le monde entier sourira avec toi


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  • J´aimais ton rire j´aimais ta voix qui racontait nos différences
    Moustache rapportait de Cuba de Santiago qu´elle importance
    j´aimais tout ceux qui était toi
    Quand tu bousculais nos consciences
    Jean Tenenbaum ou Jean Ferrat tes mots déchiraient le silence 
    Et je m´imaginais Créteil quand tu me fredonnais ma môme
    Et ces deux enfants au soleil Garcia Lorca en son royaume
    Moi j´écoutais nuit et brouillard enfermé dans mon innocence
    je comprendrais beaucoup plus tard Nul ne guérit de son enfance

    Jean de France tu chantais pour les gens de France 
    De la Bretagne à la Provence avec la fièvre telle insolence 
    De dire ce qu´on ne disait pas
    Jean de France humain jusqu´à la transparence 
    De ce regard qui fait confiance pour le secret des confidences 
    Quand tu croisait les yeux d´Elsa.

    D´ailleurs que serais-je sans toi et voilà Aragon qui danse 
    Même Ferré n´en reviens pas de ces mélodies qui s´élancent
    C´est Potemkine et Maria unient dans la même souffrance 
    Mourir au soleil ça me va mourir debout quelle élégance.

    Jean de France tu chantais pour les gens de France 
    De la montagne aux plaines immenses
    Tu défendais tout ceux qui pensent
    Que le malheur n´existe pas.

    Tu mettais le vide hors la loi du simple fait de ta présence
    Un jour futur un jour viendra tout plutôt que l´indifférence
    Et tes chansons de ce temps là ont bercé mon adolescence 
    Un drapeau rouge au bout des bras
    Tous ces taureaux quand j´y repense.


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  • C'était un petit jardin
    Qui sentait bon le Métropolitain
    Qui sentait bon le bassin parisien
    C'était un petit jardin
    Avec une table et une chaise de jardin
    Avec deux arbres, un pommier et un sapin
    Au fond d'une cour à la Chaussée-d'Antin

    Mais un jour près du jardin
    Passa un homme qui au revers de son veston
    Portait une fleur de béton
    Dans le jardin une voix chanta

    De grâce, de grâce, monsieur le promoteur,
    De grâce, de grâce, préservez cette grâce
    De grâce, de grâce, monsieur le promoteur
    Ne coupez pas mes fleurs

    C'était un petit jardin
    Qui sentait bon le Métropolitain,
    Qui sentait bon le bassin parisien
    C'était un petit jardin
    Avec un rouge-gorge dans son sapin
    Avec un homme qui faisait son jardin
    Au fond d'une cour à la Chaussée-d'Antin

    Mais un jour près du jardin
    Passa un homme qui au revers de son veston
    Portait une fleur de béton
    Dans le jardin une voix chanta

    C'était un petit jardin
    Qui sentait bon le Métropolitain
    A la place du joli petit jardin
    Il y a l'entrée d'un souterrain
    Où sont rangées comme des parpaings
    Les automobiles du centre urbain

    C'était un petit jardin
    Au fond d'une cour à la Chaussée-d'Antin.
    C'était un petit jardin
    Au fond d'une cour à la Chaussée-d'Antin.


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  • Les destins sont jaloux de nos prospérités, et laissent plus durer les chardons que les roses.  
    Honorat de Bueil Racan 

    Je regarde une rose et je suis apaisé.  
    Victor Hugo 

    Une rose au jardin c'est un cadeau du ciel. Plusieurs roses sont une bénédiction.  
    Céline Blondeau 

    Si l'amour était ce que la rose est,
    Et si j'étais semblable à un pétale,
    Nos vies avanceraient ensemble
    Par temps triste ou riant. 
     
    Algernon Charles Swinburne (1837-1909) 

    Ne remets pas à demain ce que tu dois faire aujourd'hui... Le jardin de roses est aujourd'hui plein de fleurs, mais demain, quand tu voudras cueillir une rose, il ne pourra peut-être pas t'en offrir une seule.  
    Firdoussi (Xe-X1e siècle) 

    L'homme d'affaires qui se lève à l'aube pour s'occuper de ses roses avant sa journée de travail en ville, qui est prêt, si nécessaire, à sortir avec une bonne lanterne une nuit de novembre pour vérifier si la terre a la condition idéale pour planter immédiatement les quelques rosiers standards ou nains qui viennent d'arriver, qui, plus tard dans l'hiver, sortira dans le noir et la neige pour protéger un peu plus ses parterres, voilà une sorte d'homme qui me plaît et qui plaît aux roses aussi.  
    Révérend Melliar 

    chuuuuuuuuuuuuuuuuuuut


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  • Van Gogh Van Gogh mon frère
    Même si on t'avait reconnu
    Tu serais mort comme t'as vécu
    Van Gogh Van Gogh mon frère
    Quand t'as vu ton premier ami
    T'as pas pensé c'est bon la vie
    Tu as pensé c'est le printemps
    Qui rend les hommes accueillants
    Heureux celui qui a découvert
    Un ami au temps de l'hiver

    Tang et tang et tang t'es fou
    Tang et tang et tang t'es fou
    Tang et tang et tang t'es fou

    Van Gogh Van Gogh mon frère
    Même si on t'avait reconnu
    Tu serais mort comme t'as vécu
    Van Gogh Van Gogh mon frère
    Quand t'as vu ton premier amour
    T'as pas pensé c'est pour toujours
    T'as pensé au premier chagrin
    Le réveil a pleure matin
    Le gris qui dévore le bleu
    Parce que l'amour c'est toujours peu

    Tang et tang et tang t'es fou
    Tang et tang et tang t'es fou
    Tang et tang et tang t'es fou

    Van Gogh Van Gogh mon frère
    Même si on t'avait reconnu
    Tu serais mort comme t'as vécu
    Van Gogh Van Gogh mon frère
    Quand t'as vu ton premier mouton
    Tu n'as pas pensé à Manon
    Mais tu as pensé au salaud
    Qui le tuerait pour un manteau
    Et qui vivrait en racontant
    Le méchant loup aux petits enfants

    Tang et tang et tang t'es fou
    Tang et tang et tang t'es fou
    Tang et tang et tang t'es fou

    Van Gogh Van Gogh mon frère
    Même si on t'avait reconnu
    Tu serais mort comme t'as vécu
    Van Gogh Van Gogh mon frère
    Quand t'as vu ton premier sermon
    Tu n'as pas pensé au pardon
    Mais tu as pensé à la croix
    Qu'on porte la dernière fois
    Quand sur tes bras et sur ton dos
    Viendront s'abattre les corbeaux
    Et c'est comme ça qu'on devient fou

    Tang et tang et tang t'es fou
    Tang et tang et tang j'suis fou
    Tang et tang et tang au FOU !.


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