-
L'amitié, comme l'amour, demande beaucoup d'efforts, d'attention, de constance, elle exige surtout de savoir offrir ce que l'on a de plus cher dans la vie : du temps !
2 commentaires -
When you're smilin'
Quand tu souris
When you're smilin'
Quand tu souris
The whole world smiles with you.
Le monde entier sourit avec toi
And when you're laughin'
Et quand tu ris
When you're laughin'
Quand tu ris
The sun comes shinin' through.
On dirait que le soleil illumine la pièceWhen you're cryin',
Quand tu pleures
You bring on the rain,
C'est comme la triste pluie
So, stop your sighin',
Alors, quand tu soupires
Won't you be happy again !
Ne vas-tu pas retrouver ta bonne humeur à nouveau !When you're smiling,
Quand tu souris
Keep on smilin'
Garde le sourire
And the whole world smiles with you.
Et le monde entier sourira avec toi
1 commentaire -
-
J´aimais ton rire j´aimais ta voix qui racontait nos différences
Moustache rapportait de Cuba de Santiago qu´elle importance
j´aimais tout ceux qui était toi
Quand tu bousculais nos consciences
Jean Tenenbaum ou Jean Ferrat tes mots déchiraient le silence
Et je m´imaginais Créteil quand tu me fredonnais ma môme
Et ces deux enfants au soleil Garcia Lorca en son royaume
Moi j´écoutais nuit et brouillard enfermé dans mon innocence
je comprendrais beaucoup plus tard Nul ne guérit de son enfance
Jean de France tu chantais pour les gens de France
De la Bretagne à la Provence avec la fièvre telle insolence
De dire ce qu´on ne disait pas
Jean de France humain jusqu´à la transparence
De ce regard qui fait confiance pour le secret des confidences
Quand tu croisait les yeux d´Elsa.
D´ailleurs que serais-je sans toi et voilà Aragon qui danse
Même Ferré n´en reviens pas de ces mélodies qui s´élancent
C´est Potemkine et Maria unient dans la même souffrance
Mourir au soleil ça me va mourir debout quelle élégance.
Jean de France tu chantais pour les gens de France
De la montagne aux plaines immenses
Tu défendais tout ceux qui pensent
Que le malheur n´existe pas.
Tu mettais le vide hors la loi du simple fait de ta présence
Un jour futur un jour viendra tout plutôt que l´indifférence
Et tes chansons de ce temps là ont bercé mon adolescence
Un drapeau rouge au bout des bras
Tous ces taureaux quand j´y repense.
votre commentaire -
C'était un petit jardin
Qui sentait bon le Métropolitain
Qui sentait bon le bassin parisien
C'était un petit jardin
Avec une table et une chaise de jardin
Avec deux arbres, un pommier et un sapin
Au fond d'une cour à la Chaussée-d'Antin
Mais un jour près du jardin
Passa un homme qui au revers de son veston
Portait une fleur de béton
Dans le jardin une voix chanta
De grâce, de grâce, monsieur le promoteur,
De grâce, de grâce, préservez cette grâce
De grâce, de grâce, monsieur le promoteur
Ne coupez pas mes fleurs
C'était un petit jardin
Qui sentait bon le Métropolitain,
Qui sentait bon le bassin parisien
C'était un petit jardin
Avec un rouge-gorge dans son sapin
Avec un homme qui faisait son jardin
Au fond d'une cour à la Chaussée-d'Antin
Mais un jour près du jardin
Passa un homme qui au revers de son veston
Portait une fleur de béton
Dans le jardin une voix chanta
C'était un petit jardin
Qui sentait bon le Métropolitain
A la place du joli petit jardin
Il y a l'entrée d'un souterrain
Où sont rangées comme des parpaings
Les automobiles du centre urbain
C'était un petit jardin
Au fond d'une cour à la Chaussée-d'Antin.
C'était un petit jardin
Au fond d'une cour à la Chaussée-d'Antin.
2 commentaires -
Les destins sont jaloux de nos prospérités, et laissent plus durer les chardons que les roses.
Honorat de Bueil RacanJe regarde une rose et je suis apaisé.
Victor HugoUne rose au jardin c'est un cadeau du ciel. Plusieurs roses sont une bénédiction.
Céline BlondeauSi l'amour était ce que la rose est,
Et si j'étais semblable à un pétale,
Nos vies avanceraient ensemble
Par temps triste ou riant.
Algernon Charles Swinburne (1837-1909)Ne remets pas à demain ce que tu dois faire aujourd'hui... Le jardin de roses est aujourd'hui plein de fleurs, mais demain, quand tu voudras cueillir une rose, il ne pourra peut-être pas t'en offrir une seule.
Firdoussi (Xe-X1e siècle)L'homme d'affaires qui se lève à l'aube pour s'occuper de ses roses avant sa journée de travail en ville, qui est prêt, si nécessaire, à sortir avec une bonne lanterne une nuit de novembre pour vérifier si la terre a la condition idéale pour planter immédiatement les quelques rosiers standards ou nains qui viennent d'arriver, qui, plus tard dans l'hiver, sortira dans le noir et la neige pour protéger un peu plus ses parterres, voilà une sorte d'homme qui me plaît et qui plaît aux roses aussi.
Révérend Melliar
votre commentaire -
Van Gogh Van Gogh mon frère
Même si on t'avait reconnu
Tu serais mort comme t'as vécu
Van Gogh Van Gogh mon frère
Quand t'as vu ton premier ami
T'as pas pensé c'est bon la vie
Tu as pensé c'est le printemps
Qui rend les hommes accueillants
Heureux celui qui a découvert
Un ami au temps de l'hiver
Tang et tang et tang t'es fou
Tang et tang et tang t'es fou
Tang et tang et tang t'es fou
Van Gogh Van Gogh mon frère
Même si on t'avait reconnu
Tu serais mort comme t'as vécu
Van Gogh Van Gogh mon frère
Quand t'as vu ton premier amour
T'as pas pensé c'est pour toujours
T'as pensé au premier chagrin
Le réveil a pleure matin
Le gris qui dévore le bleu
Parce que l'amour c'est toujours peu
Tang et tang et tang t'es fou
Tang et tang et tang t'es fou
Tang et tang et tang t'es fou
Van Gogh Van Gogh mon frère
Même si on t'avait reconnu
Tu serais mort comme t'as vécu
Van Gogh Van Gogh mon frère
Quand t'as vu ton premier mouton
Tu n'as pas pensé à Manon
Mais tu as pensé au salaud
Qui le tuerait pour un manteau
Et qui vivrait en racontant
Le méchant loup aux petits enfants
Tang et tang et tang t'es fou
Tang et tang et tang t'es fou
Tang et tang et tang t'es fou
Van Gogh Van Gogh mon frère
Même si on t'avait reconnu
Tu serais mort comme t'as vécu
Van Gogh Van Gogh mon frère
Quand t'as vu ton premier sermon
Tu n'as pas pensé au pardon
Mais tu as pensé à la croix
Qu'on porte la dernière fois
Quand sur tes bras et sur ton dos
Viendront s'abattre les corbeaux
Et c'est comme ça qu'on devient fou
Tang et tang et tang t'es fou
Tang et tang et tang j'suis fou
Tang et tang et tang au FOU !.
votre commentaire